MOOREA, le 18 septembre 2019 - De nouvelles négociations se sont tenues mardi et mercredi entre la confédération O Oe to Oe Rima, et la direction de l'hôtel Intercontinental de Moorea. Les deux parties s'étaient accordées pour retirer du préavis de grève le principal point de revendication qui concerne la réintégration des quatre employés mis à pied. "On aimerait que la direction s'engage par écrit qu'elle respectera la réglementation en vigueur concernant les mis à pied. Mais ils ont refusé d'intégrer ce point", indique Atonia Teriinohorai, secrétaire général du syndicat.
Depuis un peu plus de trois semaines la confédération syndicale O Oe to Oe Rima mène un mouvement de grève à l'hôtel Intercontinental de Moorea. Principal point de revendication des syndicalistes, le point 1 du préavis de grève concernant la demande de réintégration de quatre employés de cuisine mis à pied à titre conservatoire fin août dernier.
[Lire aussi >> La grève s’enlise à l’Intercontinental Moorea]urlblank:https://www.tahiti-infos.com/La-greve-s-enlise-a-l-Intercontinental-Moorea_a184886.html
De nouvelles négociations se sont ainsi tenues mardi et mercredi entre les délégués syndicaux et la direction du resort. Les deux parties se sont mis d'accord sur le retrait de ce point 1 du préavis de grève, et un premier protocole d'accord de fin de conflit a été proposé.
Un document qui n'a pas complètement satisfait la confédération syndicale. "On aimerait que la direction s'engage par écrit qu'elle respectera la réglementation en vigueur concernant les mis à pied. Mais ils ont refusé catégoriquement d'intégrer ce point", insiste Atonia Teriinohorai, secrétaire général de O Oe To Oe Rima. "Si la direction continue à camper sur ses positions, les délégués syndicaux sont prêts à aller jusqu'à la fermeture de l'hôtel", prévient le syndicaliste.
"Il semble en effet prêt à abandonner ce point. Maintenant c'est la formalisation écrite de cet accord qui fait l'objet de certaines discussions avec la confédération syndicale", explique pour sa part Guillaume Epinette directeur régional du groupe hôtelier Intercontinental.
Rappelons que le taux de participation à ce mouvement de grève est estimé par la direction de l’hôtel à 80 % au sein d’un effectif de 180 employés. Dans le même temps, l’établissement hôtelier de luxe doit gérer un taux d’occupation de l’ordre de "50 à 60 %" et de "sérieux problèmes d’organisation".
Depuis un peu plus de trois semaines la confédération syndicale O Oe to Oe Rima mène un mouvement de grève à l'hôtel Intercontinental de Moorea. Principal point de revendication des syndicalistes, le point 1 du préavis de grève concernant la demande de réintégration de quatre employés de cuisine mis à pied à titre conservatoire fin août dernier.
[Lire aussi >> La grève s’enlise à l’Intercontinental Moorea]urlblank:https://www.tahiti-infos.com/La-greve-s-enlise-a-l-Intercontinental-Moorea_a184886.html
De nouvelles négociations se sont ainsi tenues mardi et mercredi entre les délégués syndicaux et la direction du resort. Les deux parties se sont mis d'accord sur le retrait de ce point 1 du préavis de grève, et un premier protocole d'accord de fin de conflit a été proposé.
Un document qui n'a pas complètement satisfait la confédération syndicale. "On aimerait que la direction s'engage par écrit qu'elle respectera la réglementation en vigueur concernant les mis à pied. Mais ils ont refusé catégoriquement d'intégrer ce point", insiste Atonia Teriinohorai, secrétaire général de O Oe To Oe Rima. "Si la direction continue à camper sur ses positions, les délégués syndicaux sont prêts à aller jusqu'à la fermeture de l'hôtel", prévient le syndicaliste.
"Il semble en effet prêt à abandonner ce point. Maintenant c'est la formalisation écrite de cet accord qui fait l'objet de certaines discussions avec la confédération syndicale", explique pour sa part Guillaume Epinette directeur régional du groupe hôtelier Intercontinental.
Rappelons que le taux de participation à ce mouvement de grève est estimé par la direction de l’hôtel à 80 % au sein d’un effectif de 180 employés. Dans le même temps, l’établissement hôtelier de luxe doit gérer un taux d’occupation de l’ordre de "50 à 60 %" et de "sérieux problèmes d’organisation".